5 raisons de prendre un avocat en cas d’accident de la route

5 raisons de prendre un avocat en cas d’accident de la route

Après un accident de la route, la victime se retrouve dans un état fragile. Cela l’empêche donc de faire valoir correctement ses droits. Aussi, quoique la loi Banditer exige aux assureurs le dédommagement de toutes les victimes, les aides financières offertes restent toujours insuffisantes pour compenser les dégâts réellement subis. C’est pour cette raison qu’il est primordial de solliciter un avocat pour la défense de ses droits, suite à un accident de route. Grâce à lui, la victime reçoit le soutien nécessaire après un dommage. Découvrez dans cet article les raisons d’engager un avocat après un accident de la route.

Pour jouer le rôle de contradicteur face aux assureurs

En général, après un accident de route, les victimes ont tendance à se laisser guider par leur assurance qui ne démarche pas forcément en leur faveur. C’est en effet une mauvaise alternative. En situation pareille, l’idéal est toujours de contacter un avocat à Marseille. Ce dernier est le recours approprié pour obtenir gain de cause. L’avocat en dommage corporel à Marseille s’occupe de contrebalancer les rapports de force dans la gestion de dédommagement de la victime d’accident.

C’est essentiellement pour cette raison qu’il est déconseillé aux victimes de s’appuyer sur leur propre assurance. Notamment, en laissant celle-ci les accompagner ou en la laissant choisir un avocat ou un médecin-expert qui ne couvrira en réalité que ses intérêts. Les victimes d’accident de route sont des personnes fragilisées et parfois ignorantes dans leurs droits. D’où l’importance d’engager un avocat spécialisé dans les accidents de la route à Marseille qui les soutiendra et les aidera dans les premiers instants après l’accident. 

Pour la collection des informations et des pièces au lendemain de l’accident de la circulation

Après la désignation de son avocat par elle-même ou par le biais de sa famille, la victime doit procéder à un échange avec celui-ci. Elle devra lui relater les circonstances exactes de l’accident de la route. En effet, cette étape permet à l’avocat de collecter les informations nécessaires afin d’analyser la situation et d’en tirer tous les dommages juridiques de l’accident.

Après analyse des informations reçues, l’avocat de par son expérience, retiendra une méthode qu’il mettra en exécution avec la victime. Outre la collecte des informations, la victime doit également lui fournir toutes les pièces nécessaires pour constituer le dossier. Cependant, il est important que l’avocat puisse posséder des connaissances médicales afin de mieux s’y prendre avec les documents médicaux de l’accidenté.

Après la constitution du dossier, l’avocat d’accident à Marseille s’adressera à l’assurance pour lui soumettre les premiers éléments. De plus, il réclamera une première provision pour le compte pour la victime, avant même la tenue de l’expertise médicale. L’avantage ici est que les provisions de la victime seront revues à la hausse grâce à l’intervention de l’avocat. Ainsi, si elles sont habituellement fixées entre 5.00 et 5.000 euros, elles monteront alors de 5.000 à 15.000 euros.

Pour assister la victime durant l’expertise médicale                   

L’expertise médicale est le point central du dédommagement des préjudices corporels de la personne accidentée. À ce stade, il faudra nécessairement la présence du binôme de l’avocat (médecin-conseil de victimes). L’avocat à Marseille présentera donc à la victime, le médecin-conseil avec lequel il travaille habituellement. Cependant, il faudra faire preuve de vigilance, car certains médecins-conseils travaillent simultanément avec les victimes et les compagnies d’assurance. L’avocat doit donc se rassurer que ce binôme soit exclusivement un médecin-conseil de victimes.

Ce dernier aura un moment de communication avec la victime qui lui exposera totalement ses préjudices sans crainte. Outre cela, dans l’optique de constituer un dossier solide avant l’expertise médicale, l’avocat en dommage corporel à Marseille fera intervenir dans son réseau des experts d’autres spécialités. Il s’agit notamment d’un psychiatre, neuropsychologue, architecte, ergothérapeute, kinésithérapeute, etc. Pendant l’expertise médicale, la victime est ainsi accompagnée par le binôme « avocat/médecin ». L’un s’occupe de la discussion médico-légale et l’autre de l’examen clinique. 

Voiture en circulation

Pour négocier l’indemnisation de chaque poste

Ici, l’avocat en préjudice corporel à Marseille s’appuiera sur le rapport d’expertise définitif afin d’accéder à tous les postes de dommages en fonction de la Nomenclature Dintilhac et de totaliser les indemnisations. De ce fait, il recourra directement à un inspecteur corporel de l’assurance du fautif pour la négociation des différents postes.

Au cas où cela n’aboutirait pas (désaccord total), l’avocat pourra donc engager un juge pour l’ensemble des dommages. En revanche, s’il y un désaccord partiel, on peut assister à une transigeance sur certains postes et à la réservation d’autres pour la voie contentieuse. Dans le cas d’un accord, la victime devra signer un protocole transactionnel qui sera vérifié et contrôlé par l’avocat.

L’objectif ici est que ce magistrat parvient à optimiser les éventuels dédommagements à tirer des différents postes de préjudice. Avec l’implication d’un avocat d’accident à Marseille, la victime peut gagner jusqu’à cent fois de ce qu’elle aurait pu obtenir, étant seule ou avec un conseiller, assureur, expert d’assurance, etc.

Pour jouer le rôle de représentant lors du procès

Lorsque les négociations échouent, l’avocat en charge de la défense des intérêts de la victime accidentée pourra rédiger une assignation. Autrement, il peut même se constituer partie civile au procès pénal du responsable de l’accident routier. À noter que cette action juridique, visant à préserver les intérêts de l’accidenté, peut être introduite à n’importe quel moment.

Par exemple au début, l’avocat à Marseille peut engager un juge qui désignera ensuite un médecin-conseil pour la rédaction d’un rapport impartial (cas des victimes gravement atteintes.). Également au début, lorsque la victime s’est portée partie civile et convoquée devant le tribunal correctionnel. L’avocat, devant pratiquer le droit pénal routier se présente à l’audience pour représenter la victime (cas des victimes touchées psychologiquement).

Durant la procédure, notamment à l’étape de liquidation des préjudices ou de l’expertise, l’avocat intervient aussi en cas de désaccord dans la phase amiable. En tant que représentant, il vient assigner l’assurance afin de la contraindre à dédommager les préjudices corporels de la victime de la route.


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